deuil suite
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elle
Des jambes
L’ivoire de sa chair
Affleûre à l’écûme
De cette dentelle noire.
La mariée était en noir –
Rêve/Maman
Dans un tailleur de velours noir
Au bras de son « homme » (« mon père, c’est sur »)
Tôque noire en résille ,
L’ensemble velours noir.
Elle me regarde
Et déclanche un coup de rein
Pour le sexe « à pile » - a peal
Rien de fabriqué ni d’excessif
Tenue familiale, un simple indice…
Deuil de son deuil
(ceci au seuil de la maison).
Flipper/jus de tablettes
Le soir
Dans le jardin de Marôlles
Il fait nuit
Orages éclairs bien de circonstances
De la colère de Dieu.
Au fond du jardin
Dans la pénombre
Nous devisons
Avec mon fils.
Un éclair jaillit
La moitièe supérieure
De son visage m’apparaît.
Une fraction de seconde
Shakespearienne
Voir orson Wells etc.
Parc du château St. Jean
Sous la tente d’un marchand
De vêtements « moyen-ageux »
(belle câpe templière)
250 euros pure laine
le mari qui attend, devant les essayages
cabrés de sa dulcinée,
converse avec moi…
Moi, lunettes de soleil
Sur le nez.
Un éclair traverse le panorama,
C’est un photographe amateur mais suréquipé « numérique »
2 zooms et l’espace total est assuré…
Il me dit : « je viens de voir l’éclair dans vos lunettes »
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UN vieux de Nogent mais une pointure :
Me dit au tel : « petit train ira loin »
La chasuble du prêtre / menu du deuil
Blanche + crois vermillon
Un peu celle et tout à fait celle des templiers
Ici « bénédictins… ? » enquête à suivre.
Rêve
Je sui retourné dormir avec elle
Pour l’inscinération, « on lui arrache les dents » pour ne pas corrompre
Les cendres et faciliter la combustion… »
Son temps peut-être ?
Proverbe arabe
Le cadavre
« la cage dont l’oiseau s’est envolé… »
je lui remet un baiser sur le frond (à la morgue),
« mon Dieu, qu’elle est froide » m’écriais-je
en essuyant mes lèvres…
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il lui avaient arraché les dents et cela acru la morbidité du visage qui pu rester « digne » sans cela..
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agonie de maman/dial
« il fait noir »
« on a les mêmes gôuts »
« il est parti… » parlant de mon frère
« je suis une femme libre… » en écho aux paroles de « Jean de Berry » entouré de prêtres, qui lui firent la leçon tout sa vie – sur son tombeau gravé « enfin libre ».
« tu viens quand tu veux »
« je n’ai rien à dire »
« mon fils » après les infirmières qui interrompirent notre dial….
Elle crie…
C’est moi en toute humilité qui suit là…
« tiens, je vois mes pieds »
MAINVILLIERS
LE CREMATOIRE
L’officiant – patibulaire –
Nous intime de nous rappeler du défunt… des séquences … des épiphanies.
Dans la pièce dédiée, Le cercueil est au centre sur un cône de métal
« triste élévation ».
Après cette performance, je vois des étoiles scintillées comme dab quand je suis trop fatigué ou pour le moins émue…
Après nous passons dans la salle de cinéma – et voir « en live » l’opération du crématoir, seulement la mise en four , dans cette mise en scène grotesque digne de Disney-Land surtout l’ornement du cadre du four avec faveur d’un mauvais goût…filets et ornements déplacés.
Revenons à la sobriété svp.
Aux clients
De nouveau opérationnel « informatiquement » et toujours là pour la création, nonobstant les aléas technologiques.
A la retraite maintenant et ne dépendant de vos commandes, fort heureusement, voici mes conditions de vente qui ne souffriront d’aucun aménagement :
• acompte à la commande : 30 %
• Bon de commande signé « pour accord »
• règlement à réception de la matière visuelle – natifs ou pas – pas les mêmes coûts.
toujours dévoués à vos ordres
Si vous croyez que votre structure a besoin de mes talents
n’hésitez pas !
Tout reste ouvert et devant l’incurie ambiante cela serait bien de se gendarmer ;
Pas obsolète, pas en in de course
Je suis là pour m’engager avec vous !
mais dans des conditions saines.
Tous mes vœux pour le combat qui se livre…
Respectueusement
Fe
Balzac
Repérage
Les instinctifs*
Les abstractifs*
Les spécialistes*
*1
cela va sans dire, comme les bêtes.
*2
les intellectuels : les concepts
*3
les « voyants » médiums et / ou autres postulants.
La religion s’est fondée en résistance contre l’insolence de la jeunesse.
