Par Stéphane Mallarmé
POÊMES Brise marine La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir ! je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce cœur qui...